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Quand y aller
Budget moyen : 25€/jour/personne
Langues : français (officiel), mais aussi wolof, peul etc comme langues nationales
Nombre d’habitants : 14 millions (2013)

 

Carnet de voyage au Sénégal

Quand
Conditions
Ce qu’on attendait de la destination
Bilan
Nos conseils
Où nous sommes allés
La prochaine fois
Galerie photos

Quand : 1 semaine en septembre 2006

Conditions : séjour dans un hôtel au bord de l’océan, excursions organisées seuls.

Ce qu’on attendait de la destination : pour notre premier séjour en Afrique noire, nous avons choisi un pays francophone avec un hôtel dans un petit village (hôtel qui n’existe malheureusement plus).

Bilan : c’est l’un de nos voyages où les échanges avec les habitants ont été les plus faciles et désintéressés. Visite des petits villages alentours, délicieux mafé pour une poignée d’euros au « Café des rigolos » de Warang, match de foot à la TV (PSG/OM 1-3) autour de délicieux poissons frais, balade à cheval le long de la plage… toutes les occasions étaient bonnes pour un sourire, une photo, des discussions.

Nos conseils : difficile de donner des conseils d’organisation vu que nous ne sommes pas restés longtemps mais si vous envisagez un séjour « balnéaire », évitez Saly. Nous y sommes allés une demi-journée et sommes même rentrés plus tôt que prévu. Hôtels peut-être sympas mais à part quelques commerçants, pas possible de croiser des Sénégalais ! Il est donc préférable de choisir des établissements (hôtels, chambres d’hôtes ou locations) plus isolés mais proches d’une petite ville pour les commodités.

Où nous sommes allés :

M’bour et Warang : Ce sont les villes au sud de Saly, entre lesquelles se trouvait notre hôtel. L’intérêt vient surtout des petits villages à côté que l’on peut découvrir en quad (mouais…) ou tirés par une mule. Plusieurs petites écoles étaient « sponsorisées » par des Européens. Depuis notre passage les initiatives de tourisme équitable ont dû se multiplier. Toujours plus intéressants que les 5 étoiles de Saly. C’est aussi de là que partent de nombreux pêcheurs. Nous avons fait une ½ journée de pêche avec l’un d’entre eux, qui fournissait en poisson les restaurants du coin : souvenir grandiose pour nos estomacs mis à rude épreuve !

Le lac Rose ou lac Retba : il constituait la dernière étape du Paris-Dakar lorsque celui-ci se déroulait en Afrique. Situé à 40km de Dakar, il est… rose en effet et avec un fort taux de sel. Sympa de s’y baigner pour voir comment on y flotte ; des Sénégalais vous improvisent une douche pour enlever le sel qui attaque la peau. Des ouvriers, enduits de beurre de karité, plongent dans le lac pour y extraire le précieux minéral. A quelques mètres de là, une grande étendue désertique longe une plage magnifique et propre mais dangereuse à cause des forts rouleaux. Il est d’ailleurs interdit de s’y baigner.

La prochaine fois : beaucoup beaucoup d’autres choses ! Les routes étant difficilement praticables et assez encombrées, il ne nous a pas été possible de revenir à Dakar. L’île de Gorée sera bien entendu incontournable pour un prochain voyage. De même que Saint-Louis.

Un peu de musique en regardant les photos ? Tajabone par le chanteur Ismaël Lo, une chanson au sujet la fête d’Ashura où il est conseillé de jeûner. Les sénégalais se déguisent le soir et appellent cela tajabone. Merci pour les explications Marieme !

 

 

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